Auteur : Jonathan Itier Éditeur : L'Arlésienne Collection : - Date de parution : 25 Janvier 2016 Pages : 25 Prix : 0,99 € Dans une Espagne futuriste (l’histoire débute en 2020), un jeune prêtre rencontre Miguel Ortiz. Ce vieillard gît sur son lit de mort. C’est dans l’ombre de sa chambre, loin de la chaleur et du soleil, que cet homme abandonné confesse son « dernier crime », « le plus grave, le plus ignoble » : un crime d’amour. Miguel raconte sa vie. Durant les dernières années du règne de Franco, il a rencontré Gema. Probablement la plus grande putain d’Espagne. La religion, la répression et les intrigues politique, l’amitié et l’amour, l’entraide, la rédemption sont au programme de ce thriller historique passionnant. Après Un domestique, Jonathan Itier revient en 2016 avec un deuxième texte d’excellence. |
Mon avis :
J'ai trouvé cette nouvelle très complexe à lire ! En effet, nous sommes totalement et entièrement transportés au sein de la société Espagnole des années 60 ce qui, personnellement, m'a posé un certains problème du fait que je ne connais quasiment rien de cette partie de l'Histoire, de la culture et de la langue hispanique. Plus d'une fois j'ai du relire certaines phrases, revenir à certains endroits du texte afin de faire le lien entre tels ou tels événements. Sans oublier que je ne comprenais pas certains termes espagnoles ou que je ne reconnaissais aucune des références hispaniques citées dans ce récit !
Au total, j'ai lu cette nouvelle trois fois. Une fois d'un trait mais me sentant totalement perdue, je l'ai relu en prenant des notes pour ensuite faire quelques recherches sur Internet, histoire de comprendre enfin la nouvelle dans sa totalité mais surtout, dans sa profondeur. Pour terminer, j’ai l’ai relu afin de me forger un avis en mettant de côté ces quelques soucis de compréhension ! C’est vraiment dommage car à cause de cela, je n'ai pas réellement prit plaisir à la lire, j'ai plus eu l'impression de travailler sur un texte plutôt que de le savourer !
En dehors de cela, j'avoue tout de même que Jonathan Itier manie à la perfection l'art de l'écriture et que de celle-ci en ressort un grand talent !
J'ai trouvé cette nouvelle très complexe à lire ! En effet, nous sommes totalement et entièrement transportés au sein de la société Espagnole des années 60 ce qui, personnellement, m'a posé un certains problème du fait que je ne connais quasiment rien de cette partie de l'Histoire, de la culture et de la langue hispanique. Plus d'une fois j'ai du relire certaines phrases, revenir à certains endroits du texte afin de faire le lien entre tels ou tels événements. Sans oublier que je ne comprenais pas certains termes espagnoles ou que je ne reconnaissais aucune des références hispaniques citées dans ce récit !
Au total, j'ai lu cette nouvelle trois fois. Une fois d'un trait mais me sentant totalement perdue, je l'ai relu en prenant des notes pour ensuite faire quelques recherches sur Internet, histoire de comprendre enfin la nouvelle dans sa totalité mais surtout, dans sa profondeur. Pour terminer, j’ai l’ai relu afin de me forger un avis en mettant de côté ces quelques soucis de compréhension ! C’est vraiment dommage car à cause de cela, je n'ai pas réellement prit plaisir à la lire, j'ai plus eu l'impression de travailler sur un texte plutôt que de le savourer !
En dehors de cela, j'avoue tout de même que Jonathan Itier manie à la perfection l'art de l'écriture et que de celle-ci en ressort un grand talent !