Auteur : Lucille Cottin Éditeur : Arlésienne Collection : - Date de parution : 23 Juin 2015 Pages : 13 Prix : 0,99€ Les artistes peuvent avoir des muses étranges… Comme cet étudiant en photographie, amoureux du dos d’un jeune homme fragile, qu’il recherche dans les moindres recoins de Paris. Mais la quête du sourire de l’autre, pour en faire un cliché d’exception, peut-elle se dérouler sans peines ? Le sourire est une nouvelle artistique saisissante, qui s’achève très justement en apothéose, sur le pont des arts. |
Mon avis :
Tout d'abord, je tiens à remercier la maison d'édition l'Arlésienne pour cet envoi !
Dans cette nouvelle, Lucille Cottin nous entraîne dans une balade Parisienne, en compagnie d'un jeune photographe qui s'éprend de sa Muse. Muse qu'il ne connait pas, Muse qu'il ne cesse de croiser par hasard, aux alentours d'un métro, près d'un café, près du pont Alexandre III. Cette Muse qui a l'aspect d'un homme aux lèvres charnues, à la peau diaphane, au regard profond, mélancolique.
Notre cher étudiant ne rêve que d'une chose : pouvoir photographier le visage de cet homme. Le profil ne lui suffit plus, ces instants volés non plus. Après un an où il ne l'a pas revu, il va le croiser de nouveau, pur hasard ou coup du destin ? Cet inconnu qui va se retourner, qui va le regarder et lui offrir la plus merveilleuse des récompenses : son sourire. Un sourire éclatant et lumineux qui ne sera, en réalité, qu'une ombre fugace...
Lucille Cottin m'a, une fois encore, émerveillée, tenue en haleine et surprise comme jamais. Chacune de ses nouvelles me touchent, me fascinent, me choquent. Je ne m'attends jamais à de telles fins, je suis toujours aussi secouée et étonnée du final qu'elle nous réserve ! Et je pense que "Le Sourire" illustre vraiment bien son art de manier la chute.
Je ne m'y attendais pas du tout, j'en suis encore toute troublée...
Tout d'abord, je tiens à remercier la maison d'édition l'Arlésienne pour cet envoi !
Dans cette nouvelle, Lucille Cottin nous entraîne dans une balade Parisienne, en compagnie d'un jeune photographe qui s'éprend de sa Muse. Muse qu'il ne connait pas, Muse qu'il ne cesse de croiser par hasard, aux alentours d'un métro, près d'un café, près du pont Alexandre III. Cette Muse qui a l'aspect d'un homme aux lèvres charnues, à la peau diaphane, au regard profond, mélancolique.
Notre cher étudiant ne rêve que d'une chose : pouvoir photographier le visage de cet homme. Le profil ne lui suffit plus, ces instants volés non plus. Après un an où il ne l'a pas revu, il va le croiser de nouveau, pur hasard ou coup du destin ? Cet inconnu qui va se retourner, qui va le regarder et lui offrir la plus merveilleuse des récompenses : son sourire. Un sourire éclatant et lumineux qui ne sera, en réalité, qu'une ombre fugace...
Lucille Cottin m'a, une fois encore, émerveillée, tenue en haleine et surprise comme jamais. Chacune de ses nouvelles me touchent, me fascinent, me choquent. Je ne m'attends jamais à de telles fins, je suis toujours aussi secouée et étonnée du final qu'elle nous réserve ! Et je pense que "Le Sourire" illustre vraiment bien son art de manier la chute.
Je ne m'y attendais pas du tout, j'en suis encore toute troublée...