Vivante tu étais, morte tu deviens.
Bombardée de coups, de cris, d'une peur sans fin. Injectée de feu, d'un poison qui te tue petit à petit. Attrapée par la Mort elle-même, par celui qui était censé être ton protecteur, ton bienfaiteur.
Je t'écris depuis mon lit, emmitouflée dans ma couette, bien au chaud tandis que toi, Alep...
Je t'écris depuis mon lit, emmitouflée dans ma couette, bien au chaud tandis que toi, Alep...
...tu meurs de froid et d'effroi.